Un atterrissage en douceur
Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.
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Malgré le début de la décrue des eaux de la mousson dans la région des deltas du sud-ouest du Myanmar, les champs entourant les villages tels que Yay Dar Gyi, à la fin du mois d’août, ressemblaient encore davantage à des lacs qu’à des terrains agricoles. Certaines rizières se trouvaient sous trois mètres d’eau, celle-ci affleurant les maisons pourtant bâties sur pilotis. «La Croix-Rouge travaille déjà sur le relèvement à long terme des communautés touchées dans d’autres parties du pays où l’eau s’est retirée, permettant aux habitants de retrouver leur village», a déclaré Nicolas Verdy, le coordonnateur des opérations de la FICR dans la région.
Machozi, qui doutait naguère de la réalité de la maladie et qui a survécu à Ebola, a vaincu sa peur et sa méfiance pour devenir un messager porteur d’espoir.