Un atterrissage en douceur
Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.
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Juillet 2020
Redaction:
Malcolm Lucard
Production:
Thibault Lauritzen
Nous ne sommes pas égaux devant les situations d’urgence sanitaire. La pandémie de Covid-19, par exemple, contraint les gens à respecter la distanciation physique et à rester chez eux autant que possible. Dans ces conditions, les personnes atteintes de handicaps physiques risquent d’être particulièrement isolées et vulnérables, car les personnes qui les aident en temps normal, ou les systèmes de soutien sur lesquels elles comptent, peuvent faire défaut.
Les personnes souffrant d’incapacités ont plus de mal à se protéger contre les infections, et un grand nombre d’entre elles courent un risque accru en raison de problèmes de santé préexistants. Autre facteur aggravant, les messages essentiels de santé et de prévention ne sont pas toujours diffusés de manière adaptée pour les personnes atteintes d’incapacités visuelles, auditives ou physiques. «Dans les situations d’urgence, les personnes porteuses de handicap sont souvent oubliées», explique Dalal al-Taji, professeur et défenseur des droits des personnes handicapées, qui vit et enseigne dans la bande de Gaza. Dans cet épisode de «La parole aux experts», Dalal al-Taji nous explique les difficultés auxquelles sont confrontées les personnes atteintes de handicap vivant dans des zones de conflit ou dans d’autres lieux touchés par des crises.
Pour Bazargul et d’autres femmes dans sa situation, les cours de couture de la Société du Croissant-Rouge du Kirghizistan offrent une activité précieuse en des temps difficiles, rendus plus incertains encore par les répercussions socio-économiques du Covid-19.