Un atterrissage en douceur
Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.
Hôpital Al-Sabiine à Sana’a (Yémen) : un père et une mère au chevet de leur fils, préoccupés par les symptômes de plus en plus marqués du choléra chez leur enfant. Photo : Ralph el Hage/CICR
Au Yémen, la guerre a plongé de nombreux habitants, comme ce pêcheur de 55 ans dans la misère la plus totale. «Cette chemise que je porte, je l’ai repêchée dans la mer», explique-til. Photo : Ralph el Hage/CICR
Les privations extrêmes, la malnutrition, le manque d’eau salubre, l’insuffisance de l’assainissement et l’absence de ramassage des ordures sont quelques-uns des facteurs de cette situation. Photo : Ali al Kawkabani/CICR
C’est pourquoi les ingénieurs du CICR collaborent avec le personnel des conseils locaux responsables de l’approvisionnement en eau pour éviter les coupures. Photo : Khalid al-Saeed/CICR
Le Croissant-Rouge du Yémen, de son côté, est actif sur plusieurs fronts pour la prévention et le traitement du choléra. Ci-dessous, des employés du CICR et des volontaires de la Société nationale participent à une campagne de nettoyage pour combattre la maladie dans un centre de détention. Photo : Fareed al-Homaid/CICR.
Saignement des pieds. Routes de montagne froide. Trottoir pour un lit. Une journée typique pour des milliers de migrants faisant le long voyage à travers la Colombie.