Après l’adoption par les États participant à la COP 21 sur le climat à Paris, en décembre 2015, d’un accord sur la réduction des émissions qui fixe des plafonds pour la hausse de la température, la FICR a exhorté les gouvernements et ses partenaires à tenir compte en priorité, dans l’application de l’accord, des communautés les plus fragiles. «L’application de cet accord doit placer au premier rang les intérêts des populations les plus vulnérables», a déclaré Garry Conille, sous-secretaire général de la FICR chargé des programmes et des opérations. L’accord final appelle à poursuivre les efforts afin de limiter la hausse des températures à 1,5 °C et à la maintenir bien en dessous de 2 °C.
Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.
À Rangpur (Bangladesh), le risque d’inondation est une menace constante pour les communautés locales qui vivent d’une activité de pêche artisanale. Ici, les habitants s’emploient encore à reconstituer leurs moyens de subsistance après la dévastation causée par la mousson de 2019.