Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

Conditions atroces dans les villes syriennes assiégées

Le siège de plusieurs villes syriennes crée des conditions de vie catastrophiques pour leurs habitants. Le Mouvement a appelé l’ensemble des parties au conflit à lever tous les sièges dans le pays. Des convois conjoints du CICR, des Nations Unies et du Croissant-Rouge arabe syrien ont pu acheminer des vivres, des médicaments et des couvertures à Madaya, Foua et Kefraya, trois localités assiégées. Marianne Gasser, chef de la délégation du CICR en Syrie, a pu se rendre dans un centre de soins de fortune et a décrit son expérience dans un article publié par le Guardian. «J’aperçois des corps inertes allongés sur des couvertures bleues, à même le sol : des personnes âgées, affaiblies par la faim et la maladie. Plusieurs enfants, le visage émacié. Le médecin, dans une blouse blanche tachée de sang, m’amène au chevet du seul et unique lit, occupé par deux personnes : une jeune femme sur le point d’accoucher, mais qui depuis quatre jours perd réguièrement connaissance, et une fillette de 8 ans, trop faible pour parler et même pour remuer. Le silence se fait. Puis, à mes côtés, le médecin fond en larmes.»

Sur le même sujet

Un atterrissage en douceur

Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.

Quand la rivière donne et reprend

À Rangpur (Bangladesh), le risque d’inondation est une menace constante pour les communautés locales qui vivent d’une activité de pêche artisanale. Ici, les habitants s’emploient encore à reconstituer leurs moyens de subsistance après la dévastation causée par la mousson de 2019.

Cette page existe aussi en:

Découvrir d’autres articles

Pour recevoir directement dans votre boîte aux lettres les meilleurs articles

Voulez-vous être tenu informé?

Ceci pourrait vous intéresser...

Pour les survivants de la bombe atomique, il est temps d’interdire les armes nucléaires

Soixante-quinze ans après les deux bombes atomiques qui ont presque entièrement rayé de la carte Hiroshima et Nagasaki, les survivants comme Reiko Yamada n’auront de cesse que le monde soit débarrassé des armes nucléaires.

Jetez un coup d’œil